Vient réviser

Le lendemain matin de la première nuit à Poudlard, Hermione se leva tôt avant que les cours ne commencent. Elle paniquait à l'idée d'entamer une nouvelle année. A ce moment-là, une seule et unique question trotait dans tête : Vais-je avoir la moyenne cette année ? La difficulté augmente... Je devrais aller réviser !

Sur ce, Hermione enfila son uniforme à toute vitesse et couru jusqu'à la bibliothèque. Par chance, Mrs Pince avait ouvert la salle de bonne heure. En entrant, la Griffondor vit celle-ci ronchonner en classant par ordre de dangerosité des livres aux airs pas commodes. La libraire jeta un regard mauvais à la jeune fille et retourna à sa tâche.

Hermione s'assit à une table proche de la fenêtre tandis que sept heures et demi sonnaient. Elle constata qu'à part elle, il n'y avait qu'une fille brune presque majeure qui était plongée dans une oeuvre dont la couverture signalait :

MOI, LE MAGICIEN

LE NOUVEAU LIVRE DE
GILDEROY LOCKHART !

Un bel homme d'une trentaine d'année souriait de façon à montrer ses dents d'une blancheur éclantante.

Non seulement cet homme était un écrivain célèbre, mais c'était aussi le nouveau professeur de Defense Contre les Forces du Mal de Hermione ! A cette idée, la jeune fille rêvassa dans son fauteuil.

Anaïs referma le livre qu'elle venait de prendre avec un air de dégoût. Moi, le magicien, un truc comme ça.
* Pitoyable celui-là ! *
Elle s'était revéillé de bonne heure, mais pas pour se préparer plus tôt pour ensuite aller en cour. On pourrait presque dire que c'était tout le contraire ; elle ne comptait pas travailler aujourd'hui loin de là.
Elle passa sa main dans ses cheveux et se demanda ce qu'elle pouvait bien faire aujourd'hui. Elle se leva en faisant un léger bruit avec sa chaise et elle dut supporter les réprimandes de Madame Pince.
*Oh c'est bon ! J'ai pas fait exprès ! *
Elle se retourna et vit une élève affalée dans un fauteuil. Elle regarda son insigne. Gryffondor. Elle eut un petit sourire malicieux l'air de dire :
« Je sens qu'on va s'amuser nous deux. . . »

Hermione sentit un regard posé sur elle. Au bout de quelques instants, elle décida de relever la tête pour apercevoir son observateur. Il s'agissait de la jeune femme qu'elle avait auparavant vu en pleine lecture. A présent, elle soutenait un regard méprisant vers Hermione.

La petite Griffondor n'était cependant pas du tout impressionnée. Si elle croit m'intimider..., pensa-t-elle.

Il y a un an, elle aurait été troublée. Mais aujourd'hui, avec tout ce que Harry lui avait fait vivre, elle n'était pas dupe. Elle renvoya le même regard à son interlocutrice.

Anaïs ne fut pas surprise lorsque celle-ci lui renvoya son renvoya son regard. A vrai dire, elle s'attendait à une réaction de se genre de sa par.
* ouhou ! Je vois qu'on veut jouer ! *
Elle l'examina plus attentivement et remarqua ses cheveux ; pas entretenu, pas coiffé. . .
Elle remarqua aussi sa mâchoire légèrement avancée. Castor lui irait très bien comme surnom, enfin, d'après Anaïs.
Même si elle était assise, elle remarqua qu'elle était quand même petite par rapport à anaïs, elle lui donné première année, pas plus. Elle se demandait quand celle-ci allait enfin parler, mais ce qui est sur, c'est que Anaïs ne le ferait pas avant elle.

Hermione n'aimait pas jouer ce genre de jeu. La perversion ne l'interressait pas, pas plus que la cruauté ou la méchanceté. Cependant, elle était de nature têtue. Pendant un long moment, elle hésita entre lui jeter un sort et fuir, elle opta finalement pour parler.

- Tu as besoin d'encre ou d'une plume ?, lui dit-elle tout en lui jetant un regard interrogateur.

Elle savait bien que la brune ne manquait de rien. Mais Hermione n'allait pas l'aggresser dès leurs premieres échanges, tout de même ! Elle lui sourit par simple politesse, car la vérité était que cette fille ne présageait rien de bon.

Anaïs la regarda mais son regard avait changé. Elle avait un regard méprisant et un petit peu surpris qu'elle ne sorte pas sa baguette.Elle lui repondit d'une voix neutre, éloignée de tout sentiment.

« Je ne pense pas, non. »

Et lorsque celle-ci lui sourit, elle sut que ce n'était pas par gentillesse, mais une marque de politesse.

HJ : Désolé, j'ai pas pu faire 7 lignes, manque d'insî' -_-" HJ

Après ce bref échange, Hermione regarda sa montre : il était sept heures quarante. Bientôt on pourrait déjuener dans la chaleureuse Grande Salle. Mais à présent, le Griffondor se trouvait en train de converserfroidement avec une jeune femme aux airs insensibles. Il était temps pour Hermione de ranger ses affaires : elle referma livres et cahiers. Elle fourra tout ceci dans son sac en se levant. Une dernière attention à l'adolescente : celle-ci ne lâchait pas son regard vide de chaleur humaine.
En se dirigeant vers la porte, Hermione lança un "aurevoir" à Mme Pince qui ne le lui rendit pas. Elle ouvrit la porte lorsque...

Anaïs était légèrement déçu que leur petite " discussion " finisse aussitôt.
*Oh ! C'est pas marrant ! Elle à même pas sortit sa baguette ! *
Elle aurait aimé que celle-ci sorte sa baguette, parce qu'elle était sur qu'il ne se passerait rien d'amusant dans sa journée. Elle haussa légèrement les épaule et sortit sa baguette d'un geste vif, un geste qu'elle avait répété plusieurs fois. Elle la pointa sur la petite Gryffondor qui lui tournait le dos et dit le premier sort qui lui venait à l'esprit.

« Tarentallegra »

Elle n'écoutait pas la petite voix persante de Mme Pince qui lui disait : Arrêtez ça tout de suite ou j'appelle le professeur Dumbledore ! Arrêtez !
Elle regardait juste les jambes de le jeune Gryffondor bouger au rythme d'une chanson imaginaire.
* Je sais que ce n'est pas loyale de lancer un sort à une personne vous tournant le dos, mais on peut bien faire une exception. *

Ce fût le moment que choisit Ron pour débouler dans la bibliothèque.

- Hermione ! Hermione, il faut que tu m'aides, je n'ai pas lu ce livre et...

Les jambes de Hermione fûrent soudainement prises d'une envie soudaine de danser. Elles se mirent à bouger frénétiquement alors qu'une musique country commençait à jouer dans les airs. La jeune fille essaya de s'arrêter, mais rien à faire. Ses jambes n'étaient plus sous son contrôle.

Ron s'exclaffa bruyamment. Il était sur le point de s'étouffer lorsque Hermione aperçut au fond de la salle la fille habillée comme étant de Serpentard. Elle ne riait pas, elle souriait juste. Mais pas de la même façon que Ron. Elle souriait d'un air cruel.

- Ron ! Aides-mo..., hurla Hermione.

Le sort s'arrêta brutalement, emmenant avec lui la musique et les pas de danse. Hermione tomba sur les fesses, sonnée.

Le rouquin l'aida à se relever, encore secouer de petits ricanements. La Griffondor le jeta un regard sévère qui l'arrêta immédiatement. Mrs Pince, dans son coin, était complètement destabilisée.

- Dumbledor... je vais l'appeler... vous verez... serez punie...

Sur ce, elle courut hors de la bibliothèque.

Anaïs la petite Gryffondor danser malgré elle. C'était un des sorts qu'elle préférait le plus dans tout ceux qu'elle avait apprit. Elle fut tirée de sa rêverie lorsqu'un élève, un Gryffondor elle en était sûre, entra dans la bibliothèque en parlant d'une histoire idiote de livre. Elle entendit le Gryffondor appeler à l'aide. C'était ennuyeux si quelqu'un l'aidait à s'arrêter. D'un coup de baquette elle annula le sort et regarda la pauvre petite Gryffondor tomber à terre. Elle avait toujours le même sourire d'amusement affiché au visage et qui avait le dont d'énerver les gens. Elle dit d'une voix amusée.

« Tu t'es pas fait trop mal j'espère. »

Ce fût la goutte d'eau qui fait déborder le vase.

- Ecoute, répliqua Hermione, sur les nerfs. Si tu veux bien, je préfèrerai que tu me laisses tranquille ! Je ne t'ai rien fait pour que tu t'emprennes ainsi à moi !

La Serpentard souriait exactement de la même manière que Malefoy le faisait.

- Allez, viens 'Mione..., lui murmura Ron. Viens, elle ne vaut pas la peine que tu t'énerves...

Ron était terriblement géné, Hermione le voyait bien. Il ne voulait pas avoir affaire avec une Serpentard, surtout parce qu'elle faisait bien deux têtes de plus que lui.

Ce qui intensifia la rage de la Gryffondor.

- Nous n'allons tout de même pas nous laisser faire ! Je... je vais...

A la première réplique de la fille, nommée Hermione, ou du moin c'est ce qu'Anaïs avait comprit elle lui repondit sur le ton de l'evidence.

« C'est peut-être vrai, mais qu'aurais-je fais de ma matinée ? »

Elle ajouta avec un sourire malicieux :

« A part venir enerver les gens comme toi ? »

Elle écouta le petit échange de phrase entre elle et un certain Ron avant de de dire tout en pensant qu'elle s'amusait de plus en plus :

« Tu vas quoi ? »

Harry passait devant la porte de la bibliothèque qui était ouverte. Il était sous sa cape d'Invisibilité donc personne ne pouvait le voir. Cela était étonnant car la porte était quasiment tout le temps fermée. Il entendit alors une voix de fille dire"Tu vas quoi ?" Il ne savait pas qui pouvait parler, il n'avait pas reconnu la voix mais le ton pouvait bien être celui d'une fille de Serpentard. Cela l'étonna ! Harry s'avança donc par la porte ouverte et s'infilta dans la bibliothèque. Il vit alors Ron apeuré et Hermione qui semblait énervée en face d'une fille de Serpentard que Harry ne connaissait pas. Apparremment, la fille de Serpentard avait quelque chose à reprocher à son amie ou elle faisait cela pour s'amuser. Mais Harry en ami fidèle, se mit à marcher doucemnt en direction d'Hermione, toujours caché sous la cape, prêt à intervenir s'il le fallait. Discrètement, le jeune Gryffondor tapota Hermione et Ron pour que tous les deux comprennent qu'il éatit là mais qu'ils ne disent rien afin que l'élève de Serpentard ne sache pas qu'il était là lui aussi.

(hj : pensez que vous ne me voyez pas lol.)

- Hé ! dit Hermione en sentant un petit coup dans son dos.

Elle regarda derrière : personne. Cependant, Ron avait eu la même réaction qu'elle. Mais la Gryffondor avait autre chose à penser. Elle était perplexe, qu'allait-elle bien pouvoir dire pour menacer la Serpentard ?

- Je vais...

Elle fût tentée de sortir sa baguette et de lancer un "Rictusampra !", mais elle ne le fît pas. Il y avait là trop de risque de se faire punir, ou peut-être même renvoyer... Un duel en pleine école, pensa-t-elle. C'est impensable !

Anaïs la regarda, mi exaspérée, mi amusée. Soit elle le faisait exprès, donc en gros elle jouait très bien la comédie, soit elle était vraiment bête et elle ne savait pas quoi dire.

« Tu vas quoi ? »

Répétat-elle, mais cette fois-ci, complétement exaspérée, mais avant que celle-ci n'ait pu réagir elle dit :

« Mieu vaut que tu te taises si tu ne veux pas paraitre encore plus. . . pitoyable. »

Harry sentit que son amie était toujours énervée après la Serpentard et aussi qu'elle n'avait pas perçu qu'il était là. Il s'approcha donc un peu plus d'elle et discrètement, il lui murmura à l'oreille :

- C'est Harry ! Chut !

Et il procédé de même avec Ron, juste à côté. Il savait que l'élève de Serpentard n'avait pas pu l'entendre. Il était près à défendre Hermione et Ron s'il le fallait car il se doutait que ce n'était pas Hermione qui avait provoqué l'élève de Serpentard mais le contraire.

Hermione perçut très bien les paroles de Harry. C'était une chance qu'il se soit trouvé là. Hermione ne savait pas encore ce qu'il avait en tête, mais elle esperait qu'il ne serait pas trop imprudent.

La Serpentard elle, ne doutait de rien. Elle était là, trop heureuse de la situation dans laquelle elle se trouvait, et n'avait aucune idée de se qu'il adviendrait.

Mais si Hermione restait là à songer à leur futur vengeance, la Serpentard se méfierais. Alors, elle dit quelque chose de totalement ridicule.

- Je vais... te faire recracher ton dîner !
- Hein ?!, fit Ron, plus que surpris par l'inhabituelle conduite de son amie.

Elle lui donna un coup de coude discret.

- Ouille ! Ah... Oui biensûr ! Ton dîner ! Ah ah...

Nombre de messages : 194 Date d'inscription : 10/09/2006

Ginny se promenait dans les couloirs quand elle entendit des cris venant de la bibliothèque et s'y précipita. Elle tomba alors sur une scène pour le moins invraisemblable.

Anais et Hermione se lançaient des regrads haineux et... Mais oui, hermione menaçait Anais ! Il devait vraiment y avoir un problème.

Ron, quant à lui, ne savait pas où se mettre mais essayait cependant maladroitement de défendre Hermione.

"Heu... Anais ? Hermione ? Ron ? Qu'est-ce qui se passe ?"

Harry venait de voir Ginny entrer. Il ne pouvait malheureusement pas lui faire comprendre à elle aussi qu'il était là, caché sous la cape, et qu'elle devait se méfier. Ginny n'était qu'en première année à Poudlard et ne connaissait donc pas encore beaucoup de Sortilèges. Il se tut donc et regarda son amie Hermione qui venait de reprendre la parole encore une fois énervée. Il se mit donc à attendre l'effet des paroles qu'Hermione venait de prononcer sur l'élève de Serpentard, espérant que la petite soeur de Ron resterait à l'écart de tout cela !

(hj : Hermy, si tu lances un sort, fais-le lancer en même temps à Harry pour plus d'impact sur Anaïs lol)

HJ : Oh mais oui ! Maltraitez la gentille petite Anaïs qui ne cherchait que à s'amuser ! Très gentille ! M'en fous, je vais tout faire pour savoir que t'es sous ta cape d'invisibilité ! >.<
Attend je réfléchis. . .
Ça y est ! Trouvé ! HJ

Anaïs écouta la réponse d'Hermione à sa question. Elle se retint de rire à le réponse stupide que celle-ci lui donna.

« Et si j'ai pas mangé ? Comment tu vas faire ? »

Elle ne fit pas attention à l'entrée de Ginny dans la bibliothèque et les regarda tous. Personne ne voulait lui jeter un sort, non ? Vraiment ?personne ?
* Rololo ! Ils sont pas marrant ! *
Elle soupira, rangea sa baguette, regarda Hermione et dit enfin :

« A ce que je vois, personne ne veut jouer. . . »

Elle se dirigea vers la porte, poussa d'une main le dénommé Ron et fit pas attention à Ginny qui leur demandait ce qui se passait, tout ça avant de se cogner contre. . . le vide ( HJ : J'ai réussi-euh ! J'ai réussi-euh ! ^^ ).
Elle tâtonna dans le vide avant de toucher un tissu qui était, soit-dit en passant, très doux. Elle qui adorait les habits peut dire quel à quel tissu elle touche les yeux bandés, mais cette fois-ci, elle n'en savait rien.
Elle tira d'un seul coup avant de découvrir un élève lamentablement caché sous. . . c'était quoi au fait ? Elle regarda de plus près ce qu'elle tenait en main. Une cape d'invisibilité, enfin, d'après elle.

« Une cape d'invisibilité ? Pfff ! »

Elle ne prit pas le temps de le regarder plus attentivement, ni même de comprendre qu'elle venait de faire face au « Survivant ». elle était trop occupé à penser qu'il était qu'un pauvre abrutit se terrant en dessous d'une cape d'invisibilité pour prêter main forte à ses amis en cas de besoin. Elle le poussa de sa main, comme elle l'avait fait quelque minutes avant et se retrouva devant la porte mais elle se retourna pour faire face à Ginny.

« Au fait, c'est ton frère, lui ? »

Elle montra du doigt Ron.

Nombre de messages : 194 Date d'inscription : 10/09/2006

Ginny laissa échapper un petit cri de surprise quand anais découvrit Harry.
Elle ignorait en effet l'existence de la cape et voir quelqu'un surgir de nul part n'avait jamais été une expérience agréable.

"Harry ! Mais qu'est-ce que..."

Puis elle se tut et observa Anais. de toute évidence, l'athmosphère était tendue. Ginny avait pourtant déjà rencontré la jeune serpentarde et celle-ci lui avait plutôt semblée sympathique. Peut-être les apparences étaient-elles parfois trompeuses ? Quoiqu'il en soit, Ginny la dévisagea un petit bout de temps avant de répondre d'un ton neutre.

"Oui, c'est mon frêre, lui. Et il s'appelle Ron. mais qu'est-ce qui se passait ?"

(hj : je ne suis pas trop d'accord avec ce que tu as fait !!! Mais bon, pas grave, on va faire comme....!!

Harry n'en revenait pas de ce que venait de faire Anaïs ! Ainsi, elle avait simulé une chute afin de le découvrir, par hasard ! Il lui en voulait énormément car après tout, lui n'avait rien tenté contre elle mais il était là pour soutenir son amie en cas de besoin, c'est tout ! Il en voulait beaucoup à la jeune Serpentard d'avoir fait cela : non seulement provoquer Hermione mais aussi le découvrir sur sa cape. Harry avait bien envie de régler son compte à Anaïs car il était maintenant énervé mais il se retint. Il valait mieux pour elle.

(HJ : Evitons trop de "bizareries" s'iouplè ! Cette situation vire au n'importe quoi, c'est dommage... ^____^" )

Hermione ne savait plus où se mettre, c'était elle qui avait provoqué cette dispute et voilà la résultat ! Mais à bien y réfléchir, la Serpentard était seule contre quatres Gryffondor. Hermione ne voulait évidemment pas de duel, mais cela la rassurait de se sentir en sécurité.

Derrière, Ron se faisait tout petit.

- C'est de moi qu'elle parle, là ? C'est de moi ?, dit le rouquin d'une voix craintive quand l'adolescente se préoccupa de lui.

Et lorsque Ginny eût terminé sa phrase, Hermione coupa court à toutes réponses quelles qu'elles soient.

- Bon, ça suffit maintenant ! Ecoute, déclara-t-elle à l'attention de la Serpentard, je suis désolée mais mes amis et moi-même ne sommes pas du genre à se battre en duel ! Venez, on y va.

Elle avait dit cette dernière phrase d'un ton autoritaire, mais en réalité c'était plutôt un conseil.

HJ : Oh mais oui, bien sur que c'est très facil pour vous lorsque vous êtes 4 et moi seule ! Sans aucun Serpentard pour m'aider , aucune personne n'a eu l'idée de s'inscrir pour aller à Serpentard ? HJ

Anaïs écoutait Hermione d'une oreille distraite. A quoi bon l'écouter, puisqu'elle savait que la jeune Gryffondor allait lui dire des idioties ?
En réalité, elle pensait au prochain habit qu'elle allait mettre. C'était quelque chose de Stupide par rapport à leur conversation, mais Anaïs ne pensait qu'à elle.
* Bleu foncé ou bleu clair ? Ou pourquoi pas rose ?
Elle lui repondit quand même d'une voix distante.

« Oui, c'est vrai que vous êtes en. . . Quoi ? Deuxième, ou au pire, première année ? »

* Pourquoi est-ce que je prendrais pas vert ? *

Harry se rendit compte qu'Anaïs n'avait même pas écouté ce que venait de dire Hermione et lui jeta un regard noir avant de tourner la tête vers Ron.

- Oui, tu as raison Hermione ! dit-il tout en regardant Ron. Allons-y ! Nous ne sommes en effet pas du genre à nous battre en duel et je n'en vois pas l'intérêt ! Allez venez tous les deux !

Puis en passant devant Ginny, il lui jeta un bref regard tout à fait normal avec un signe de la tête pour qu'elle les suive aussi. Puis tous les quatre, sans un mot de plus ni un regard à la jeune Serpentard, ils quittèrent la bibliothèque. Elle semblait de toute façon perdue dans ses pensées et ne valait pas la peine que l'un des quatre réponde à la question qu'elle venait de poser.

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